Harry, homme d'affaires surmené, comble à coups de mimiques et d'admonestations le vide effrayant d'une vie désertée par la femme qu'il aimait et qui est partie en emmenant leurs deux fillettes. Un jour, Harry croise le chemin d'un jeune trisomique, Georges, qui a fui l'institut spécialisé où il vivait. Harry n'a tout d'abord qu'une idée: se débarrasser au plus tôt de l'encombrant personnage, qui réclame à tue-tête des chaussures neuves dans les magasins et qui risque la mort s'il mange du chocolat. Peu à peu, pourtant, dans l'âme desséchée d'Harry, se glisse une affection pour l'être simple et bon qui s'est accroché à ses basques et l'appelle «mon copain»... Double prix d'interprétation masculine du Festival de Cannes 1996 pour Daniel Auteuil et Pascal Duquenne
Hélène Roussel
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À l'origine, Abel et Junon eurent deux enfants, Joseph et Elizabeth. Atteint d'une maladie génétique rare, le petit Joseph devait recevoir une greffe de moelle osseuse. Elizabeth n'était pas compatible, ses parents conçurent alors un troisième enfant dans l'espoir de sauver Joseph. Mais Henri qui allait bientôt naître, lui non plus, ne pouvait rien pour son frère – et Joseph mourut à l'âge de sept ans. Après la naissance d'un petit dernier, Ivan, la famille Vuillard se remet doucement de la mort du premier-né…
M. de Tréville mécontent que ses mousquetaires Athos, Porthos et Aramis se soient encore battu avec les hommes du cardinal, les convoque pour les sermonner. Le jeune D’Artagnan profite de la situation pour demander d’être sous les ordres de M. de Tréville mais il lui annonce qu'on lui a dérobé sa lettre de recommandation. En effet, montant un cheval jaune ou bouton d'or, il a provoqué le comte de Rochefort en duel à Meung, qui a préféré lui donner le bâton par ses valets. Pressé, le comte s’entretenait avec Milady de Winter. Sortant de son entrevue avec M. de Tréville, D’Artagnan bouscule et se chamaille avec chacun des trois mousquetaires, ce qui lui vaut un duel avec chacun d'eux au Luxembourg. Sur le lieu de leur affrontement, les quatre hommes sont surpris par les gardes du cardinal et pactisent alors pour les combattre sous le cri de « Tous pour un, un pour tous ».