Comme pour chaque saison de Pékin Express, chaque équipe gère un budget équivalent à un euro par jour et par personne. Cet argent est alloué à l'achat de nourriture et doit être utilisé uniquement pendant les heures de course. Pour leur progression, les équipes doivent pratiquer l'auto-stop, et se faire offrir le gîte et le couvert la nuit tombée. Chaque équipe se voit attribuer une balise leur permettant d'être notifiés du début et de la fin de la course. Cette balise doit être remise au directeur de course (Stéphane Rotenberg), action marquant alors la fin de l'aventure.
Jole Silvani
- Home
- Jole Silvani
Venu tourner un film à Cineccitta, Peter Elliot, star du cinéma américain, s'éprend de sa jeune partenaire française, Jane Steiner. Il est marié et père de deux enfants, et leur liaison enflammée perturbe le tournage et remet en cause toutes leurs certitudes à l'écran et dans la vie.
Ivan veut profiter de son voyage de noces à Rome pour présenter sa jeune épouse Wanda à sa famille et obtenir une audience du Pape. Wanda préfère partir à la rencontre de son idole, le Cheik blanc, héros de romans-photos dont elle suit assidûment les aventures. Elle découvre qu’il n’est qu’un héros de pacotille, lâche et vulgaire. Ne sachant où elle est, Ivan est désespéré et tente de dissimuler sa disparition à sa famille.
Un vieil escroc sur le retour, Émile Morland, convainc son ancien complice Aristide de l'aider à enlever le jeune fils de Rifai, un armateur millionnaire. Morland engage Amandine, une jeune comédienne et loue à un certain Tony un charmant bambin nommé Alberto. L'objectif est d'échanger le fils de Rifai contre Alberto et de demander ensuite une rançon à son père. Mais, contre toute attente, Rifai refuse de payer et, trouvant qu'Alberto est un enfant beaucoup plus charmant que son pleurnichard de fils, préfère le garder à la place de celui-ci.
Valorgue est en émoi: le fils du boulanger a mis enceinte la fille de l'épicier, avant de partir faire son service militaire en Algérie. L'opinion est divisée. Les uns prennent fait et cause pour le fils, et se voient du même coup interdire d'accès à l’épicerie, alors que d'autres défendent la jeune femme et deviennent indésirables chez le boulanger.
Comme pour chaque saison de Pékin Express, chaque équipe gère un budget équivalant à un euro par jour et par personne. Cet argent est alloué à l'achat de nourriture et doit être utilisé uniquement pendant les heures de course. Pour leur progression, les équipes doivent pratiquer l'auto-stop, et se faire offrir le gîte et le couvert la nuit tombée. Chaque équipe se voit attribuer une balise leur permettant d'être notifiés du début et de la fin de la course. Cette balise doit être remise à Stéphane Rotenberg, le directeur de la course, action marquant alors la fin de l'épreuve.
Snaporaz, un séducteur vieillissant, aborde une jeune femme dans un train, mais échoue dans ses manoeuvres d'approche. Le train s'arrête en pleine nature et l'inconnue en descend. Snaporaz quitte sa place à son tour et suit sa mystérieuse compagne de voyage. Il se retrouve dans une maison isolée où se tient un congrès féministe. Il déambule de salle en salle et affronte une étonnante galerie de personnages féminins, depuis la mangeuse d'hommes jusqu'aux homosexuelles militantes. Il croit trouver son salut en accédant à la galerie de portraits de Krossphallus Katzone, l'empereur des séducteurs, fier comme un coq sous les innombrables visages figés des femmes qu'il a aimées...
Vittorio, un comédien cantonné à des rôles de figuration, rêve de devenir une vedette de cinéma. Après avoir remporté un concours télévisé, « Le roi du cinéma », il est remarqué par des producteurs japonais et engagé pour interpréter la doublure d'un acteur dans un film tourné à Tahiti.
Cette saison, Stéphane Rotenberg et les huit binômes de candidats vont découvrir les contrées les plus reculées et sauvages du Kirghizistan et de l’Ouzbékistan, les paysages majestueux de la Jordanie mais aussi les décors enivrants des Émirats arabes unis... Pékin Express part sur les terres de l’aigle royal !
Des binômes s'affrontent lors d'une course. Ils ont pour seul budget un euro par jour et par personne. Ils doivent donc faire de l'auto-stop pour rallier le point d'arrivée et se faire offrir le gîte et le couvert chez l'habitant, s'ils ne veulent pas passer une nuit dehors, sans manger. Les étapes sont généralement longues en termes de distance et sont donc découpées en plusieurs jours de tournage. Le but pour chaque binôme est d'arriver en première position à l'issue de chaque étape et ainsi amasser des amulettes de valeur différente pour espérer gagner. Lorsqu'un binôme arrive en dernier, il risque l'élimination.