Pourchassé par la police, Cameron trouve par hasard refuge sur le lieu de tournage d'un film, en se prétendant cascadeur. Ravi, le réalisateur lui propose alors de remplacer au pied levé celui qui vient de périr noyé peu de temps auparavant...
Philip Bruns
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Énorme succès au box office, Flashdance est l’irrésistible histoire d’Alex Owens (Jennifer Beals), jeune beauté de 18 ans, pleine de résolution, soudeuse la journée et danseuse dans un cabaret le soir. Une bande son qui a marqué les années 80, avec les fameux airs “Flashdance” chanté par Irène Cara et “Maniac” chanté par Michael Sembello. Suivons Alex qui se bat pour son indépendance, pour trouver l’amour et réaliser son rêve : danser au Conservatoire de Pittsburg. Un véritable film culte !
Une escouade de soldats est envoyée pour arrêter un robot hors de contrôle qui ravage une petit communauté, mais petit à petit, ils en viennent à suspecter que certains d'entre eux sont des robots.
Apres « Hamburger Film Sandwich », voici une série de petites histoires courtes, burlesques et prétendant au mauvais gout. Carl Gottlieb, l'un des réalisateurs declare que « pour faire rire les gens, il faut les surprendre, mais dans le monde d'aujourd'hui, il est difficile de faire plus fort que la vie elle-même pour surprendre. » Ces professionnels de la comédie sont-ils à la hauteur de leurs ambitions ?
Joe Buck, blond et beau gosse, quitte sa petite bourgade du Texas pour monter à New York, où il espère se faire entretenir par des femmes riches. Mais la dureté de la ville lui fait rapidement perdre ses illusions. Seul, sans un sou, il fait la connaissance de Ratso Rizzo, un petit Italien chétif, boiteux et tuberculeux. Parce que ce dernier a l'air encore plus seul que lui, Joe accepte de partager son appartement miteux. À l'opposé l'un de l'autre, ils partagent pourtant la même misère dans les bas-fonds new-yorkais, s'accrochant au même rêve : partir vivre sous le soleil de Floride...
Dans les années 1920, aux États-Unis, la vie de pilotes, anciens « héros de la grande guerre », et leurs diverses et difficiles reconversion professionnelles. Après la Première Guerre mondiale, l'aviateur Waldo Pepper gagne sa vie et satisfait sa passion pour le pilotage en donnant des spectacles aériens et des baptêmes de l'air aux citoyens de petites villes américaines. Il demeure secrètement blessé de n'être jamais devenu un grand as, ayant passé un long temps comme instructeur dans une école de pilotage. Par dépit, il prétend, durant ses spectacles, avoir survécu à un affrontement contre l'as allemand Ernst Kessler qui l'aurait chevaleresquement épargné en constatant que ses mitrailleuses s'étaient enrayées.
Alan Swann, vedette des films de cape et d'épée, fait un come-back remarqué en cette année 1954. En effet, il doit être la vedette d'un show télévisé new-yorkais. Or celui-ci a un sacré caractère et arrive ivre-mort aux studios pour un direct devant vingt millions de télespectateurs...
Horace McNickle (Edward Asner) est un malfaiteur deux fois au service de prison pour contrefaçon. La semaine avant Noël, il échappe à la prison déguisé en Père Noël en raison de son inquiétante étrangeté resemblence à Saint-Nick résultant de sa longue barbe blanche et caractéristiques corpulent. McNickle se cache de la police dans un quartier de banlieue à proximité où il se lie d'amitié et aidé par deux enfants locaux qui pensent qu'il est le vrai Père Noël. McNickle profite des enfants ness naïfs pour l'aider à récupérer son argent contrefait caché quelque part dans un magasin local alors qu'il développe des sentiments bienveillants pour ses deux con victimes qui lui font comprendre lentement la vraie nature de Noël.