En prison, Akemi Tachibana, raconte à ses codétenues son histoire. Celle d'une chef yakuza d'une bande exclusivement féminine, ayant chacune une partie d'un même tatouage représentant un dragon. Un soir, lors d'un combat, une femme est accidentellement rendue aveugle. Quelque temps plus tard, les meurtres s'enchaînent dans le groupe, et les victimes se font scalper leur tatouage.
Yoshi Katō
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Tampopo, une jeune veuve, gère, sans succès, un petit restaurant de ramen dans un quartier populaire de Tokyo. Sa vie va basculer le jour où un client, Goro, routier à la dégaine de cow-boy et fin gourmet, décide de lui enseigner l'art et la manière de cuisiner les nouilles.
Sous les cerisiers en fleurs 3.5
Drame, Horreur, Fantastique, Romance
A une époque, on n'osait pas passer sous les cerisiers en fleurs, la légende disait qu'ils rendaient fou... Période Edo. Un bandit vivant dans les montagnes kidnappe une belle femme de la ville pour en faire sa femme. Répondant à toutes ses exigences pour la garder près de lui, il va commettre des actes horribles.
Baby Cart Vol.05 : Le Territoi... 3.7
Action, Crime, Drame, Thriller
Sur la route, le Loup à l'enfant est provoqué en duel à cinq reprises par les meilleurs guerriers du fief Kuroda, chargés de vérifier son invincibilité avant de lui confier une mission cruciale : tuer le moine Jikei qui s'apprête à trahir leur suzerain en remettant au clan Yagyû un document compromettant : Kuroda, amoureux fou de sa concubine et manipulé par elle, a en effet signé un décret interne faisant de leur fille son héritière, au détriment de son fils légitime. Ogami accepte le travail et part à la recherche du moine. Mais le clan Yagyû est prêt à tout pour récupérer le document qui lui permettra, au nom du Shôgun, de démanteler le fief Kuroda et de récupérer ses territoires.
Japon féodal, ère Edo : Ittô Ogami est le bourreau officiel du Shôgun. Cette fonction, convoitée par tous les maîtres d'armes de la cour, consiste à décapiter les suzerains vassaux condamnés, pour rébellion, au hara-kiri. Elle procure le privilège d'arborer le blason du Shôgun, d'être admis à ses audiences personnelles., Retsudô Yagyû, maître d'armes assoiffé de pouvoir, compte bien récupérer pour son compte ce poste prestigieux... Un jour, Ogami est accusé à tort par Retsudô de comploter contre le Shôgun. Déchu de ses titres, condamné à se faire hara-kiri, il choisit de fuir avec son fils. Conscient que cette affaire, si elle s'ébruitait, porterait atteinte à la légitimité de son pouvoir, le Shôgun ordonne secrètement à Retsudô, à son clan de redoutables ninjas d'éliminer au plus vite Ittô Ogami. Devenu tueur à gages sous le nom du Loup à l'enfant, l'ancien bourreau du Shôgun n'a plus qu'une raison de vivre : se venger de Retsudô, prouver son innocence...
Alors qu'il se livre à une autopsie sur le cadavre de son épouse (qui s'est apparemment suicidée), un médecin légiste essaie de comprendre quels mécanismes peuvent pousser les femmes à commettre des actes de violence extrêmes. Soucieux d'en savoir plus, il se plonge dans la lecture des archives criminelles, pour en extraire quatre affaires ayant défrayé la chronique en leur temps. L'une d'entre elles concerne un tueur et violeur en série, mais les trois autres mettent en lice des femmes, qui ont tué chacune pour des motifs différents : la passion, la folie, ou la cupidité.
Après la guerre, un prêteur sur gages est assassiné à Hokkaido avec toute sa famille. Un des coupables échappe à la police et ne sera retrouvé que dix ans après l'événement lorsqu'il assassine une prostituée du nom de Yae qui l'aidait à se cacher.
En octobre 1963, la police découvre les cadavres de deux collecteurs de taxes dans la campagne. Le suspect est l’un de leurs collègues : Iwao Enokizu, un escroc plusieurs fois condamné. Réfugié dans une auberge d’Hamatsu, Enokizu se fait passer pour un professeur d’université et poursuit ses méfaits alors que son portrait est affiché dans tout le Japon. Le film retrace les 78 jours qui séparent le premier crime de la capture d'Iwao par la police.
Les habitants de l'ile de Kurage vivent selon les coutumes traditionnelles et croient toujours a la légende selon laquelle le dieu du frère et de la sœur créa leur ile au milieu de la mer de Chine. "Profond Désir des dieux" raconte l'histoire de Nikichi qui aima sa sœur Uma. Il fut puni par son père qui l'enchaîna à un rocher. Les années passent, le frère et la sœur se retrouvent. Mais l'amant d'Uma, le chef de l'ile, est retrouvé mort. Les habitants, convaincus de la culpabilité de Nekichi, les tuent. Cinq ans plus tard, des touristes innocents envahissent l'ile.
Zatoichi est poursuivi à travers la campagne par un groupe de mercenaires. Grâce à la complicité de voyageurs, aveugles comme lui, il parvient à les semer. Plus tard, il croise la route d'une femme, épuisée sous le fardeau de l'enfant qu'elle porte dans ses bras. Charitable, Zato lui donne sa place dans le palanquin qui le transporte. Mais ses ennemis surgissent et tuent l'innocente, croyant éliminer le masseur aveugle. Zatoichi décide alors de prendre l'enfant sous sa protection, le temps de l'amener à son père. Le périple commence…
Yataro Tanigawa, un ronin borgne, impressionne le patron des yakuzas Gomyo Kiyoemon par son talent au combat. Gomyo engage Tanigawa comme garde du corps (yojimbo) pour le protéger lors d'un conflit entre clans. Tanigawa monte rapidement en stature dans le clan, mais trouve les ennemis de son patron bien nombreux...
Cette approche de l'œuvre et de la vie du graveur Katsushika Hokusai (1740-1849) débute par le contexte politique du shogunat d'Edo à l'époque de sa naissance : les paysans chassés de leurs terres viennent en ville, une classe marchande émerge, le pouvoir des samouraïs décline. Hokusai vit dans la pauvreté, fait son apprentissage de graveur, étudiant auprès des meilleurs artistes de l'époque, notamment Korin. Le style unique d'Hokusai vise le réalisme. La caméra fait un lent panoramique de l'art d'Hokusai : nous voyons des estampes populaires auprès des marchands et des roturiers, en particulier ses caricatures ; ses sujets sont souvent des personnes au travail. À la fin de sa vie, l'agitation politique devient son sujet.
Le film relate l'histoire véridique de Hachikō, un chien, qui, après la mort de son maître en 1925, a attendu tous les jours le retour de celui-ci devant le portique d'entrée de la gare, pendant neuf ans, jusqu’à ce qu'il meure à son tour.